L'ORIGINE de la GUERISON...
Tant que l'on n'a pas fermé le robinet de la baignoire, il ne sert à rien d'éponger la salle de bain. Vous qui consultez un médecin, voulez-vous seulement recevoir des soins ou guérir ?Vous contentez-vous d'une suppression des souffrances ou voulez-vous retrouver la santé ?
Il est très important de faire la différence entre ces deux concepts.
Tout le monde est d'accord pour demander au médecin de donner ses soins pour ne plus souffrir. Le médecin est heureux que vous lui donniez l'occasion de vous soulager. De même, le mécanicien est heureux que le conducteur lui donne du travail pour réparer. Tout le monde s'y retrouve, c'est bon pour " la consommation ". Mais la voiture et le chauffeur sont moins fringants après chaque accrochage ou chaque panne, et surtout après chaque passage au garage... C'est à chacun de voir...... Vous pouvez ne pas désirer que le mécanicien vous donne des leçons de conduite ou vous explique comment ménager la voiture pour en tirer le meilleur usage. Il y va de votre liberté, pas vrai...?
Si le dialogue médecin-malade s'arrête au soin qui supprime la souffrance, et c'est déjà bien si ce but est atteint, .....il est fort probable que de savoir comment supprimer la souffrance ne va pas vous apprendre comment ne plus s'y exposer. On sait aussi que la tôle redressée est moins solide que le moulage initial. D'autre part, recevoir des soins, c'est toujours bon " pour la consommation " (on parle de consommateurs de soins), mais c'est toujours aussi mauvais pour vous, car vous serez moins fringuant après chaque traitement.... Diable....!... Il faut bien assumer les effets secondaires. Si pour soulager votre mal de tête on fatigue votre foie, si pour guérir votre angine on détruit votre équilibre intestinal et immunitaire, si pour détruire votre cancer on doit sacrifier tous les facteurs de santé, de bonheur et de confort de la vie, ne vaut-il pas mieux réfléchir ? Ne vaut-il pas mieux demander des leçons de conduite aux mécaniciens capables d'en donner ? Ne vaut-il pas mieux, sans vouloir être mécanicien soi-même, se renseigner sur les bases élémentaires de la mécanique, pour pouvoir demander à chaque équipe de blouses blanches, d'effectuer le travail qu'elle sait faire, pour pouvoir en limiter vous-même les excès ?
Donc certains ont compris qu'il vaut mieux aller chercher l'origine des maladies et renforcer l'équilibre de santé (*)pour pouvoir obtenir une réelle guérison. L'origine des maladies se trouve bien sûr avant tout dans le comportement alimentaire (*), les prises de toxiques, de diverses drogues et remèdes, l'exposition aux pollutions de l'air de l'eau et de la terre, les vaccins (*), les traitements puissants de l'arsenal médical moderne, l'hérédité, les accidents et autres interventions du bistouri..... etc...... Mais on oublie dans cette triste énumération, la cause principale de toutes nos misères humaines. Il s'agit de la souffrance affective. Oui, c'est elle qui, non seulement nous pousse à nous exposer à tous les facteurs de maladie énumérés, drogue, alcool, café, sucre, laitages, somnifères, vitesse, violence.....etc....mais encore c'est elle et les conflits qui naissent et perdurent autour d'elle, qui créent dans notre cerveau les conditions déterminantes des maladies des divers organes de notre corps.
Nous affirmons, après G. Hamer, C. Sabbah, G. Attias et leurs élèves, que toutes les maladies naturelles, celles qui ne proviennent pas du bistouri, de l'injection vaccinale, du coup de grisou, de la chute de l'autocar dans le ravin, de l'explosion de l'obus dans la tranchée...... (et encore.... il y aurait à dire...), proviennent d'une dysharmonie de fonction du " cerveau biologique ", le cerveau non rationnel, l'affectif, les plus de 90% de cette masse de gélatine protégée dans les os du crâne, dont les scientifiques ignorent encore presque tout du fonctionnement. Ce cerveau assure la survie de l'individu et de l'espèce. Ses règles de fonctionnement n'obéissent pas à la logique habituelle de la science médicale. Il fonctionne comme celui des poètes, des artistes, des musiciens, des génies et des prophètes. Il organise les " ressentis ". C'est celui des foules qui n'ont plus d'opinion politique, mais seulement des " sensiblités ", dont la raison ne peut faire le tour. Nos anciens traduisaient celà dans une formule lapidaire: " vox populi, vox Dei ". La voix du Peuple, c'est la voix de Dieu.
Ce concept, apparemment flou, résultat concret synthétique de l'ensemble des travaux des plus grands psychologues du siècle dernier, trouve une application magistrale dans le traitement des maladies des plus bénignes aux plus graves, et notament dans le traitement victorieux du cancer.
- Madame X, droitière, a magistralement guéri de son cancer du sein gauche parcequ'elle a suivi régulièrement un traitement " de terrain " pendant et après sa chirurgie et sa radiothérapie, et surtout qu'elle a pu dire qu'elle ne se pardonnait pas d'avoir laissé mourir sa mère dans une maison de retraite, obligée qu'elle avait été de le faire, mais culpabilisant malgré tout.
- Madame Y, droitière aussi, a quand même guéri de son cancer du sein gauche métastasé, après chirurgie, chimio et radiothérapie, avec traitement " de terrain ", parcequ'elle a pu comprendre qu'il lui fallait renouer avec la famille de son père que sa mère lui avait fait renier, et se libérer de ses " culpapilités d'enfant "...... etc....... les exemples abondent.
La souffrance causée par l'impossibilité du retour du repère à sa place, prenant forme de maladie du corps pour exprimer le trop plein, l'ineffable douleur, l'ingérable effort demandé à ce cerveau affectif. C'est cette image de père ou de grand-père déchu de ses titres dans les yeux de la fille ou petite fille qu'il a abordée sexuellement comme sa compagne, c'est cet ami qui se révèle peu ami par sa trahison, c'est ce mari qui sodomise sa femme contre son gré, c'est ce patron qui punit injustement, c'est ce collègue qui plaisante cruellement, c'est ce faux bruit, cette calomnie sur vous que vous ne pouvez rétablir dans la vérité...... Le conflit nait de la nécessité supposée ou imposée par les " conventions sociales " du groupe, de devoir garder secret le ressenti conscient ou inconscient. La première défense de notre cerveau biologique étant justement de faire passer dans l'inconscient ces douleurs qui, ainsi, sortent de notre vie. C'est lorsque la maladie est là qu'il est temps de remettre tout celà au clair et à sa place devant le groupe qui est la référence souveraine de notre tout puissant inconscient. C'est dans cet inconscient qu'il faut aller trouver nos guérisons.
ON NE PEUT GUERIR DU CANCER QU'EN EN COMPRENANT LA SIGNIFICATION ET EN CHANGEANT SES SENTIMENTS, SES COMPORTEMENTS ET SA VIE EN CONSEQUENCE.
En matière de cancer plus qu'en d'autres domaines de la médecine, extirper le mal sans comprendre son origine ni rétablir les équilibres et les énergies vitales, c'est très souvent pousser le malade vers des états critiques d'où il est souvent impossible de sortir.Pour les autres affections, comme la Sclérose En Plaques, le facteur déterminant, déclenchant, " autorisant " mais pas entièrement causal tout de même, est une peur de descendre pour franchir le gué, tel que décrit par Claude Sabbah dans l'histoire de " Jo le chasseur ", et dont il faut retrouver le ressenti dans sa propre histoire pour " exploser la cassette " et guérir. Cette démarche ne contrindiquant pas les soins nécessaires et le changement du " terrain ".
Ces concepts sont utiles dans le soulagement de toute affection plus ou moins bénigne, comme une toux expression de la colère, une épaule bloquée correspondant au fardeau de la vie qu'on a " sur les épaules ", le lumbago lorsqu'on " en a plein le dos ", une cystite lorsque quelqu'un envahit votre territoire, ou un infarctus du myocarde lorsqu'on vous a chassé de votre territoire.
(*)Reportez-vous aux autres documents fournis.