HEPATITE B - VACCINATION

 

Vous entendez, voyez et lisez partout en France, à la Radio, à la Télévision, dans les journaux :
"FAITES VOUS VACCINER AVEC VOTRE FAMILLE, ET VOUS EVITEREZ L' HEPATITE B"
"PAS D'HESITATION, VACCINATION" . "LE VACCIN EST SANS DANGER". "LA VACCINATION VA DEVENIR OBLIGATOIRE ". " LE VACCIN EST OBLIGATOIRE POUR TRAVAILLER DANS CERTAINES ADMINISTRATIONS". "NOUS SOMMES TOUS MENACES PAR UNE EPIDEMIE D' HEPATITE B". "L' HEPATITE B DONNE LE CANCER DU FOIE". "L' HEPATITE B SE TRANSMET PAR LA SALIVE, DONC IL FAUT PROTEGER LES ADOLESCENTS EN AGE DE FLIRTER". Etc.......

Tous ces propos alarmants sont repris dans les cabinets médicaux, par des praticiens de bonne foi qui ont votre confiance, et qui la méritent certainement. Les médecins du travail, ceux de l'administration et de la médecine scolaire font chorus relayés par les enseignants. Comment douter une seconde de leur bonne foi et de la véracité de leurs informations ?

PRENEZ DONC LA PEINE DE LIRE CE QUI SUIT, POUR CONNAITRE CE QUE LES SCIENTIFIQUES SAVENT.

1) C'est la PREMIERE FOIS AU MONDE que l'on pratique une vaccination de masse contre une MALADIE CHRONIQUE.

Vacciner une population " saine " contre une maladie chronique présente quelques inconvénients théoriques... Dont l'expérience actuelle sur nos enfants et nous mêmes donnera la confirmation aux scientifiques dans plusieurs dizaines d'années. Eh oui !

Et nous sommes menacés à court terme de voir apparaître des vaccins contre l' HERPES les syndromes MONONUCLEOSIQUES, les CYTOMEGALOVIROSES, les PAPILLOMATOSES, les autres VIROSES dont certaines provoquent des cancers solides ou des leucoses, les CHLAMYDIOSES, les MYCOPLASMOSES et PARASITOSES de tous ordres, etc...

Si nous laissons faire les stratèges du commerce scientifique, nos populations " saines " seront donc toutes porteuses des ANTICORPS spécifiques de ces maladies qui, pour l'heure, ne frappent qu'une faible partie d'entre nous. Où est le problème ? direz-vous.

Le problème est que dans le cas des MALADIES CHRONIQUES, les ANTICORPS ne jouent plus le simple rôle de protecteur que le public et le monde des " praticiens " croit connaître. Par le fait même que l'agent responsable en question provoque une affection CHRONIQUE, il faut admettre que les anticorps spécifiques NE SONT PAS PROTECTEURS. Ils sont seulement au mieux " stabilisants ", ou " retardateurs d'évolution " et peuvent même être " facilitants " (favorisant le contage de la maladie) ou devenir " agresseurs " et constituer l'essentiel de la maladie. Un mécanisme connu depuis plus de vingt ans, le CYCLE de JERNE permet de comprendre une partie du phénomène. Le contrôle de la production des anticorps, donne naissance à des cascades d'anti-anticorps, qui finissent par agresser l'organe qu'ils sont censés protéger. On assiste ainsi à la naissance de MALADIES AUTO-IMMUNES qui détruisent plus ou moins rapidement les organes " protégés ".

Une autre explication à rajouter à celle-ci, est la SIMILITUDE ANTIGENIOUE entre une partie de l'agent agresseur et une partie d'un ou plusieurs organes du corps. Le virus de l'HEPATITE-B, en particulier, renferme dans sa structure des SEQUENCES COMMUNES AVEC LA MYELINE, ce qui expliquerait les poussées de SCLEROSE EN PLAQUES constatées après injection du vaccin.

Donc, l'introduction dans votre corps de l'agresseur, ou du LEURRE VACCINAL, va mettre en route une machine infernale dont il serait hasardeux de prévoir le parcours. Chaque enfant, chaque femme, chaque homme vit sur un équilibre de santé qui lui est propre.

Pour vacciner, il faut que le risque de contamination soit très élevé, et que la maladie soit toujours très grave. Nous attendons que l'on nous prouve, à l'aide de documents épidémiologiques clairs, honnêtes et complets, que la France était bien menacée sur l'ensemble de sa population, par une " épidémie " d' HEPATITE B. Il faut savoir que, dans la grande majorité des cas, la maladie passe inaperçue, mais que le vaccin est loin d'être anodin. La balance risque - bénéfice ne penche pas vers le vaccin.

Donc la vaccination de masse, hors d'un petit cercle d'une population à haut risque de contamination, n'a aucune justification médicale. Nous vous laissons le soin d'en découvrir les motivations.

Enfin notons que toute vaccination affaiblit face aux maladies bénignes courantes, angines, rhumes, etc... Et face aux maladies graves en cours ou en sommeil. Seront surtout aggravées, les maladies à composante auto-immune comme la sclérose en plaques, les polyarthrites, le sida, les recto-colites, ... etc... par l'augmentation de la fabrication de complexes immuns.

2) C'est la PREMIERE FOIS que l'on utilise en masse, un vaccin issu du GENIE GENETIQUE !

Et c'est sur nous ou nos enfants que cela tombe. Pas de chance !

Il faut savoir que la fabrication des vaccins par le " génie génétique " présente quelques contraintes. Malgré les difficultés rencontrées pour percer les secrets de la technologie, on sait que ces méthodes doivent mettre en œuvre des " lignées cellulaires ". Comme les cellules saines ne vivent pas longtemps hors du corps qui les a produites, il faut utiliser des cellules cancéreuses, qui ont seules la faculté de se reproduire à l'infini. On oblige ces cellules cancéreuses à fabriquer les protéines vaccinantes, par " hybridation " avec d'autres structures cellulaires. C'est pour cela qu'on appelle ces cellules des " HYBRIDOMES ". Les Américains ont transformé des levures dans le même but.

Pour obtenir une quantité suffisante de protéines vaccinantes, il faut mettre les " HYBRIDOMES " dans un milieu de culture approprié, qui contient toutes les substances nécessaires au développement rapide des cellules cancéreuses. Entre autres, du sérum de veau pouvant être contaminé par des prions.

Lorsque le moment est venu de récupérer les protéines virales " vaccinantes ", il faut effectuer une délicate opération de " TRI MOLECULAIRE ". Il faut séparer les protéines virales " vaccinantes " contenues dans le milieu de culture d'avec les débris de cellules cancéreuses, des enzymes et des acides nucléiques d'origine virale. Voilà qui est facile à comprendre. Or là, nous nous heurtons à une difficulté technologique sur laquelle nous voudrions que les industriels soient plus explicites. Cette séparation, ce tri, cette purification des protéines " vaccinantes ", n'atteindrait jamais un degré de pureté supérieur à 90% (OMS - janvier 1987, rapport technique 747). A titre d'exemple, prenez une boite de vaccin ANTI-GRIPPAL, dont les protéines "vaccinantes" sont obtenues par culture du virus sur œuf embryonné, et demandez-vous pourquoi le vaccin porte la mention: " contre indiqué chez les personnes allergiques à la protéine de l'oeuf". Qu'en déduisez-vous ?

Nous savons, par une publication de 1987, que chaque vaccin contre l' HEPATITE B contient en plus une dose active d'enzymes viraux, TdT et Ribonucléase, dont la faculté de faire MUTER LES GENES de nos cellules est connue. On peut même supposer que l'enzyme " mutagène " TdT injecté à quelqu'un déjà porteur d'un virus sauvage contrôlé, pourrait entraîner une mutation de celui-ci et relancer une nouvelle maladie dont l'évolution serait incertaine.

Toute personne sensée aura compris que les vaccins contre l' HEPATITE B, de même que tout vaccin issu du " génie génétique " contiendront une dose non précisée de substances issues du milieu de culture PROVOQUANT LE DEVELOPPEMENT PLUS OU MOINS RAPIDE DE CELLULES CANCEREUSES. Ces substances peuvent être des facteurs de croissance, des enzymes intra ou extracellulaires, et des morceaux d'ADN susceptibles, même à dose infinitésimale, d'induire une cancérisation dans n'importe quelle direction, ou des malformations dans la descendance de ces personnes.

Comment accepter par ailleurs qu'on ne vous fasse AUCUNE VERIFICATION sanguine avant de vous injecter le vaccin ? Un typage HLA (détermination de votre groupe tissulaire - un peu comme le groupe sanguin) permettrait de déterminer facilement votre sensibilité à ce geste, et les risques encourus, tant en cas de maladie, éventuellement, que par la vaccination. Le coût de cet examen serait vite ramené à un niveau tolérable s'il était systématisé. Et votre santé vaut bien cette précaution !

Il serait malhonnête de prétendre que TOUTES les personnes à qui on injecte le vaccin contre l' HEPATITE B vont connaître à plus ou moins long terme les horreurs de ce qui est scientifiquement prévu ici, mais si vous même êtes concerné par une complication prévisible, accepterez-vous de faire partie du " pourcentage de casse " ?

Accepteriez-vous que votre enfant ou votre ami en fasse partie ?

Il faut tout de même s'attendre à ce qu'une grande partie des enfants à qui on a injecté les vaccins "contre l' HEPATITE B" au cours de la formidable campagne publicitaire actuelle, se trouvent atteints d'une FATIGUE TRAINANTE de cause indéterminée leur vie durant.

Notre médecine est devenue un partenaire industriel de première grandeur dans notre "société de consommation".


GRENAT

 

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